par Gilbert Guingant
Sans effort aucun, usé et usagé par les routines, ne pas se poser de questions devient - cruellement - de se priver, de s'auto-priver même de réponses. À coups sûrs.
Aidons, alors, ces malheureux en leur concoctant une liste de bonnes questions avec réponses.
Les questions métaphysiques ne sont pas posées où on le pense ? Soit pas adéquates, pas pertinentes du tout, comme si nous demeurions toujours dehors, restant idiotement au seuil de la porte sans jamais entrer ouvertement. Un exemple ? Ici - personne n'est le personnel !
• alors qu'est vraiment le personnel s'il n'est constitué de personne ?
Peut-il y avoir quoi que ce soit de personnel dans le... personnel même ? - Ou bien, encore ? En quoi le personnel serait-il personnellement personnel ?
Ce qui offre une première innovation cruciale : le même mot, à la fois, représente la catégorisation glacée, indifférente, peu humaine, qui nous éloigne des autres. Et son très inverse. La grande chaleur humaine, l'intérêt pour les autres, les implications humaines, l'ardeur de tout changer ensemble, l'émergence d'un immense projet commun (l'humanité) !
En quoi le personnel serait personnellement personnel ?
• en première salve. Vous vous rendez déjà compte de la toute profondeur infinie des interrogations ? Ceci dépasse toute métaphysique établie, toute ontologie (de l'Être) même. Nous nous situons aux limites peu visitées du Zen. Si avancés, que nous sommes très en avances sur les jubilations toujours aussi peu courues. Depuis le temps que de frauduleux «dirigeants» (qui ne dirigent rien mais ne veulent, tellement bestialement, que voler les autres) - occupent un espace qui n'est pas le leur, clair que leur premier effort de méchanceté reste d'empêcher tout le monde d'être heureux... Raté comme le reste !
La santé mentale exige, alors, de les chasser sans faille de la moindre parcelle de nos corps. Qu'il ne demeure en nous rien de leurs putréfactions immorales et de leurs si claires vies ratées (qui fait chier tout le monde braille, assez fort, qu'elle ou il a archi raté sa vie. Qu'ils ne supportent pas une seconde de se trouver, si seuls, dans leurs vies vides. Et que leurs rancœurs de sans cœurs sont devenues pires que la haine... Brisons nets tous leurs essais de piétiner nos existences... oui ils NE NOUS méritent pas !!! Dehors et plus vite encore...)
1. Où ils sont il n'y a jamais rien d'essentiel !
La vraie vie est Ailleurs qu'où ils sont. Détournons entièrement les regards. Enfin revenus qu'à eux - ces faux dirigeants ont visiblement raté leur vie. Reprenons-leurs toutes nos pensées et tous nos élans. Ne leur laissons pas une seule miette de nous. Ils ne nous ont jamais mérité. Réunissons donc toutes nos forces intérieures pour les expulser de partout. Ils sont les très mal venus et nos déterminations se montrent sans faille. Plus jamais ça !!! Nos cœurs purs leur sont fermés à jamais. Ces monstres ont atteint le maximum de répulsions. Toutes nos pulsions siègent dans les rejets résolus. En face, ce sont sur les malsaines suites de Faux gouvernements que doivent concentrer la totalité de nos répugnances et aversions. Un tsunami de dégoûts intenses. Nous NE VOULONS PLUS d'eux. Et quand le désir est mort on quitte, la queue entre les jambes, les couples solides ! Vous n'avez donc plus le choix : cassez-vous mais cassez-vous vite !!!
Les questions métaphysiques vont leur rester comme nos queues de comètes. Nos dos leurs sont définitivement tournés. Ne plus les regarder - ne jamais les écouter : ils n'obtiendront jamais rien des autres : nous qui «savons» que ces antihumains sont ce... qu'il y a de plus bas dans la société. Regarder en haut c'est pour les étoiles et les merveilles de l'univers qui nous attend. Eux en sont indignes de tout, nous ne regardons pas si bas ! Faisons-leurs savoir : immenses manifestations de nos NOOOOOOOOOOOOONNN, Nos non individuel : ce palindrome qui résout tout ici !
Nous ne voulons plus de vous, même une seconde.
N'infestez plus nos vies de vos hideurs !
Une fois vous expulsés, oui enfin expulsés, nous retournons, épanouis,
... avec et dans la profondeur infinie des interrogations
2. La réalité fondamentale, celle du «sens de l'être» et de l'au-delà de la physique ?
Réalité fondamentale, «significations» et même «tout l'au-delà» qui se trouvent, tous, si matériellement, dans tout le langage. Langage dont nous faisons - ensembles, nous les «ensemblables» - la complète expérience vertigineuse ici :
exactement : : ici et maintenant -
Le personnel n'est pas personnel. Quel est-il alors ?
personne n'est personne alors qui est quelque... un ?
Quelque un et pas deux ou trois ? Ou même un très quelconque quelqu'un, du commun, du banal, de l'indifférencié ? Si difficile... d'Être quelqu'un, quelqu'un juste d'un chiffre ou d'une indifférence ? Un qui se montre à dé-chiffrer des chiffres ? ou bien une foutue brouillasse qui brouille tout et ne va vers aucune clarté ? Si nous ne sommes pas en pleine métaphysique, nous sommes dans quoi très précisément ?!...
personne n'est assez personnel ???
venez nous retrouver ! (seconde salve... et il en reste encore des milliers d'autres !).
Libérées d'emmerdeurs si minables et si ennuyants que vous !!! Les trop... anti-élites !!
3. Troisième salve sur les centaines à venir ?
Lorsque chaque salve est si salvatrice ? Le phénomène est si ample et encore plus méconnu - qu'un texte suivant viendra nous porter au-delà de cette époque «immobilisée sans même savoir pourquoi». Oui nous savons où nous allons et nous y allons exactement. Rare pour l'époque ??? Avec nous on ne s'égare pas !!! Lorsque chaque salve est si salvatrice.
Le personnel doit-il l'être en personne ? Dit autrement, impersonnel cela ne fonctionne-il pas du tout ?
La personne contient-elle toute la personnalité ? Ou bien la personnalité est toute ailleurs ?
Personnellement, vous n'y êtes pour personne ? ou acceptez-vous enfin de vous impliquez ?
La personnalité n'est-elle que du spectacle tout extérieur, une apparence insincère ? Un jeu idiot qui vous démolit votre vraie nature ? Jusqu'où va «personne» dans chacun d'entre nous ?
Acceptez-vous d'être remis en réponses ? sont-ce des questions qui demeurent encore en vous ? L'artificialisation du sociable, de l'indissociable du sociable, du soi-disant issu «par le haut», doit-elle encore être admise en vous ? Comme en chacun d'entre nous ?
N'est-il pas le temps d'affronter les trop... antisociaux ? De circonscrire les pouvoirs malfaisants qu'ils ont sur la société - société qu'ils ne connaissent absolument pas. Et donc à laquelle ils ne peuvent faire que de l'extrême mal ?
Jusqu'où va jusqu'où ?
Pourquoi plus nous avançons et plus nous adorons la maturité et la sagesse ?
Et plus nous sommes résolus à chasser les frivoles (donc les hyper cruels) qui «croient» être des «ayant tous les droits» alors que trop néfastes se prouvent toutes leurs actions si contre la société ?
Tenons-nous le bon fil ?
Voulez-vous surtout renouveler tout «le personnel politique» qui nous entraine dans «leurs impasses de grandes puérilités» ?
Aimez-vous l'idée qu'il y a du... à suivre ?
4. Du chant ébloui !
Ce qui «se passe» ? Vous êtes vraiment hors de toutes religions, ce qui est indéniable - ce qui vous fait, pourtant, devenir très réceptifs à la compréhension des questions métaphysiques. Pourtant, pas paradoxal pour deux sous !
En dehors de certaines qualités, d'entrainements certains et d'expériences vécues (expliqués, sans doute, une autre fois !), vous avez développé ce qui demeurera l'essentiel :
- une sensibilité énorme aux mots, à leurs sons, à leurs structures signifiantes et le tout complet global extérieur de tous leurs liens. Un langage très vécu...
- Vous gardez légèrement mais omniprésente une attention «flottante» prête, pourtant, à se centrer puissamment sur tout fait significatif. S'habituer aux incidences de co-incidences et leurs gerbes de vraies nouveautés. Ceci nous habitude aux surgissements des rencontres inattendues.
- autre mauvaise habitude perdue ? Vouloir, contre tout sens des proportions, «avoir absolument raison». Puisque vous goûtez tellement plus fort à vraiment comprendre, deviner, se mettre à la place des autres. Oui, sans doute, de nouveaux traits de caractères, encore très peu existants. Dont nous parlerons la prochaine fois que nous nous rencontrerons au sujet des questions métaphysiques. Puisque nous arrivons aux résultats flagrants des questions métaphysiques !
De frotter les mots, soit de les rapprocher le plus par le son, nous fait pénétrer dans des profondeurs de sens tout à fait étonnantes. C'est que les heureux aphorismes nous plongent dans les significations les plus primordiales.
Il est des rencontres qui ne se refusent pas ! Ici même. Ici, l'identité et les identitaires à jamais surpassés. Et définitivement résolus ! Ce n'est qu'une surface sans rien en dessous ! écoooooouutez : id-entités (quelle «entité» si vague déjà !) ?
C'est que ces précieux aphorismes offrent bien plus que ce que les myopies des apparences nous détournent trop des véritables merveilles.
Nous sommes - même si les mauvaises habitudes empêchent d'y croire aisément -
dans un des plus illimités panoramas du monde !
source : Imagiter